La Tribune: Cordes sensibles

Sébastien Pesot le reconnaît : il n’y a plus grand-chose de punk dans sa vie. Il nourrit deux petites bouches, enseigne à des universitaires et, depuis une semaine, habite la salle principale d’un musée des beaux-arts.Si on veut trouver des restes d’anarchie ou de résistance, il faut chercher ailleurs. Dans son oeuvre.

Lire la suite du texte (page 15) de Laura Martin

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